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1.
Afr. J. Clin. Exp. Microbiol ; 23(3): 269-277, 2022.
Article in English | AIM | ID: biblio-1377799

ABSTRACT

Background: One of the main health problems in West Africa remains upsurge of emerging pathogens. Ebola virus disease outbreak occurred in 2014 in Liberia, Guinea and Sierra Leone, Monkeypox virus in Nigeria in 2017 and most recently Lassa virus in Nigeria, Togo and Benin in 2018. These pathogens have animal reservoirs as vectors for transmission. Proper investigation of the pathogens in their rodent vectors could help reduce and manage their emergence and spread. Methodology: This study was conducted with an approval from the Côte d'Ivoire Bioethics Community. Small mammal trappings were carried out in 9 sites within three zones namely, peri-urban, peri-rural and protected areas. Liver, lung and kidney tissues from trapped small mammals were sampled in accordance with the recommended conditions of biosafety and bioethics. The organs were transported in liquid nitrogen to the laboratory. Molecular tests were used to detect pathogens. Orthopoxviruses and Monkeypox virus were detected in the organs by PCR using consensus primers targeting the virus surface membrane haemagglutinin (HA) genes, while Leptospira species were detected by PCR using primers targeting the rrs and lfb1 genes. Results: Out of 4930 night-traps, 256 (5.19%) small mammals were trapped including Crocidura, Rattus, Lophuromys, Praomys, Mus and Mastomys. Leptospira species were detected in 6 genera from 7 study sites and the infected small mammals accounted for 13.3%. Leptospira sp was detected mainly in the rodent vector genera Rattus (32.3%), Lophuromys (29.0%), and Praomys (16.1%). Three species of Leptospira were detected and Leptospira interrogans was the most common frequent species (74.2%). Monkeypox virus was not detected from studied small mammals. Conclusion: The initial data from our investigation indicates the presence of Leptospira sp in rodent vectors, Rattus, Lophuromys and Praomys, which are the potential small mammalian reservoirs of this pathogen in Cote d'Ivoire.


Subject(s)
Rodent Diseases , Disease Reservoirs , Rodent Control , Ebolavirus , Lassa virus , Orthopoxvirus , Monkeypox virus
2.
Revue Ivoirienne d'Odonto-Stomatologie ; 20(1): 37-41, 2018. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1269317

ABSTRACT

Les fractures mandibulaires sont une solution brutale et accidentelle de la continuité complète ou incomplète, avec ou sans déplacement des fragments de la fracture de l'os mandibulaire. Elles ont un retentissement majeur d'ordre fonctionnel et morphologique, avec des complications plus ou moins graves en l'absence de traitement approprié. Il est donc important de faire une prise en charge rapide des patients traumatisés. Méthodes: La prise en charge de ces fractures relève de la chirurgie par mini-plaques d'ostéosynthèse et/ou des procédés orthopédiques et prothétiques. Les auteurs proposent, à travers un cas clinique, la prise en charge des fractures mandibulaires par procédés orthopédiques et prothétiques. Le procédé a consisté à construire et à poser une gouttière bivalve en résine acrylique pour réaliser une contention mandibulaire. Résultats: Le dispositif utilisé a permis de traiter efficacement le patient traumatisé. En outre, les fonctions de l'appareil manducateur et La morphologie des contours du visage ont été restaurées, permettant ainsi une meilleure insertion socio-professionnelle du patient. Discussion: Les procédés orthopédiques et prothétiques sont fréquemment utilisés du fait de leur coût relativement peu élevé par rapport la chirurgie réparatrice. Dans les cas de dents délabrées et d'appuis dentaires insuffisants, le choix de la gouttière bivalve en résine acrylique apparait comme la meilleure option thérapeutique. Conclusion: Dans notre contexte d'exercice caractérisé par des patients aux moyens financiers limités, la prise en charge des fractures mandibulaires par les procédés orthopédiques et prothétiques permet d'obtenir des résultats comparables à la chirurgie réparatrice


Subject(s)
Cote d'Ivoire , Mandibular Fractures , Orthopedic Procedures , Periprosthetic Fractures , Plastic Surgery Procedures
3.
Sciences de la santé ; 5(1): 67-71, 2017. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1271924

ABSTRACT

Justification : Depuis l'éradication du virus de la variole, on note une émergence des autres Orthopoxvirus surtout le Monkeypoxvirus en Afrique centrale. A ce jour aucun cas d'infection humaine à Orthopoxvirus n'a été notifié en Côte d'Ivoire. Cependant, l'activité humaine en milieu rural, la présence des réservoirs potentiels et le climat sont des facteurs favorables à la circulation de ce groupe de virus. Objectif : Mettre en évidence la circulation des Orthopoxvirus en Côte d'Ivoire en situation post éradication de la variole dans la population non vaccinée contre cette maladie. Matériel et méthode : 385 sérums de sujets non vaccinés contre la variole, choisis parmi 1353 sérums collectés lors d'une surveillance nationale de la fièvre jaune, ont été analysés. La méthode ELISA a été utilisée pour rechercher les IgG anti Orthopoxvirus. Résultats : l'âge moyen des patients était de 11 ans et le sex-ratio était de 1,97. Les IgG anti-Orthopoxvirus ont été détectées dans 4,95% des sérums ; seuls 0,78% de ces sérums avaient un titre ≥ 400. La majorité des sérums contenant ces IgG (84,16%) provenaient d'individus habitant la moitié sud de la Côte d'Ivoire. Conclusion : le niveau d'exposition aux Orhopoxvirus reste faible chez les sujets non vaccinés contre la variole. Cependant, vu le nombre croissant de sujets susceptibles à ces virus, il est nécessaire de mettre en place des sites sentinelles de surveillance, particulièrement du Monkeypoxvirus


Subject(s)
Africa, Western , Cote d'Ivoire , Disease Eradication , Monkeypox virus , Orthopoxvirus
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